Dijon Passion Patrimoine

Expliquer et défendre les richesses du patrimoine historique et artistique de Dijon












photo : tombeaux de Jean Sans Peur et Marguerite de Bavière (Musée des Beaux Arts de Dijon)

Articles récents

  • La rénovation du musée des Beaux Arts de Dijon : comment légitimer le saccage d’un monument historique (partie 2)
    Cet article, second volet sur le MBA de Dijon, résume la rénovation du Musée de Dijon et pose question sur les choix qui ont été fait pour exécuter cette rénovation. Ces choix sont non seulement peu respectueux de l’œuvre de grands noms de l’architecture française et de l’histoire d’un monument protégé (voir précèdent article) ; mais surtout nous démontrons que cette rénovation n’est pas conforme à la loi patrimoine et à la convention UNESCO : le palais, fleuron du patrimoine dijonnais, a été saccagé. Certains éléments patrimoniaux ont même disparus. Il apparaît que la loi sensée protéger ce patrimoine aurait été habilement contournée via l’ABF et la DRAC qui a autorisé ces travaux. Pourquoi ? Pour satisfaire l’égo de certains politiques locaux ? (Cliquer sur la photo pour lire l’article)
  • Une école d’art à l’origine d’un des plus prestigieux musée des Beaux Arts de France (partie 1)
    Ce premier article sur le Musée des Beaux Arts de Dijon évoque les origines de ce musée et les raisons de son implantation dans un palais, afin de comprendre l’intérêt historique architectural et artistique du bâtiment et de ses collections. Article à venir à propos de la rénovation du musée. (Cliquer sur la photo pour lire l’article)
  • Centre Dauphine : un remède pire que le mal
    Symbole de l’urbanisme des années 60-70 avec ses erreurs d’aménagement dans le cœur historique des villes, le Centre Dauphine était en plein déclin depuis une dizaine d’années ; quand le même investisseur de Cour Bareuzai a vu l’opportunité de le restructurer à son profit mais au détriment du secteur sauvegardé de Dijon.
  • La DRAC au service de la bétonisation
    Depuis un an, notre collectif se bat contre les atteintes faites au patrimoine architectural et historique de Dijon. Où en sommes-nous début 2022 ?
  • Cité Internationale de la Gastronomie et du Vin : un plat indigeste (partie 1)
    – Aux origines du projet : pourquoi Dijon ? – L’hôpital Général : un ensemble architectural et historique unique. – Choix du lauréat et vente de l’hôpital : quelle transparence ? – Projet culturel ou opération immobilière ?
  • Cité Internationale de la Gastronomie et du Vin : un plat indigeste (partie 2)
    – Un écoquartier qui n’a d’écologique que le nom. – Un succès illusoire et fabriqué pour assurer la rentabilité ? – Un non respect flagrant de la Loi patrimoine et de la Convention UNESCO de 1972.
  • Usine Terrot : un simple sauvetage… de façade
    Jusqu’en 1960, Terrot était une marque célèbre de vélos et motocycles dont l’usine abandonnée située boulevard Voltaire est le dernier vestige. Que va-t-il réellement rester du bâtiment lorsque les projets des promoteurs Nexity et Adim auront vu le jour ?
  • Des ponts à l’abandon…
    Le pont de l’Arquebuse (fin 19ème) et celui de la Porte d’Ouche (début 20ème) sont des ouvrages d’art marquants du Dijon ferroviaire. De style et de matériaux différents, leur intérêt architectural n’en est que plus grand. mais leur état de délabrement interpelle.
  • L’hôtel Central, un patrimoine en restauration
    Avec le développement du train dans la seconde moitié du 19ème siècle, Dijon voit sa capacité hôtelière se développer : des établissements de toutes catégories apparaissent ou s’agrandissent, dont l’hôtel Central, qui se veut à l’avant garde de la modernité. La façade de l’hôtel qui avait perdu de sa superbe est en cours de restauration à l’initiative du propriétaire.
  • Alerte à Montmuzard !
    Que restera-t-il du parc Montmuzard si le projet immobilier de Nexity voit le jour ? Les modalités des autorisations accordées méritent d’être examinées, tant sur le plan de la réglementation que sur celui de l’environnement.
  • Histoire du château de Montmuzard
    Célèbre en France au 18ème siècle pour son audace et son élégance architecturale, le château de Montmuzard est l’oeuvre de Charles de Wailly, lauréat du Prix de Rome, à qui l’on doit les plans et la construction de l’Odéon à Paris.
  • Un promoteur immobilier à l’assaut du rempart Tivoli
    Dijon a la chance de posséder de très beaux vestiges de ses remparts, qui la défendaient jusqu’au 17ème siècle, avant la conquête de la Franche Comté par Louis XIV. Le rempart Tivoli, témoin de l’histoire de la ville, est aujourd’hui menacé par un programme immobilier.
  • Cour Bareuzai : les réglementations ont-elles été respectées ?
    La transformation de l’hôtel Filsjean de Mimande en Centre commercial dénommé Cour Bareuzai suscite de nombreuses interrogations sur le respect de la loi patrimoine du 07 juillet 2016 et de la «Convention de l’UNESCO sur le patrimoine» qui s’applique depuis 2015 au vieux Dijon.
  • Histoire et description de l’hôtel Filsjean de Mimande
    A l’origine de l’Hôtel Filsjean de Mimande, situé 61 rue des Godrans, il y a deux hôtels, l’hôtel Jacqueron, et l’hôtel Godran. L’hôtel Godran a été édifié au 15ème siècle ; les restes visibles actuellement ne sont qu’un pâle reflet de l’importance de cette construction et de la famille qui l’occupait.
  • Quel avenir pour Saint Philibert ?
    Où en est le projet de restauration et de mise en valeur de la seule église de style roman à Dijon ?
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